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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | On n'a rien inventé (5 de 10) |
Date de création
| 1997-08-08 |
Durée du segment | 00:58:07 |
Invités | Maurois André, auteur, Bazin Hervé, auteur; Pilon Jean-Guy, auteur, poète; Godbout Jacques, auteur |
Artisans | Morency Anne, journaliste, animatrice, présentatrice; Roy André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Les fantômes qui hantent la diffusion de la littérature: Anne Morency nomme les deux questions qui préoccupent le monde littéraire au Québec dans les années 1950-1960: la diffusion de la littérature québécoise et l'engagement des écrivains dans la société. André Maurois, de passage au Québec, croit que les écrivains d'ici sont très bons et il encourage les maisons d'éditions québécoises à créer des liens avec les pays francophones pour élargir le marché des lecteurs. À Hervé Bazin, un animateur a posé la question "Quel avenir voyez-vous à la littérature canadienne-française telle qu'elle se présente actuellement?" Le petit marché québécois reste un handicap pour lui et il encourage les éditeurs d'ici à élargir leur marché au marché francophone européen. Le goût d'une certaine facilité dans l'écriture est également à éviter. Par contre, les écrivains d'ici décrivent une société nouvelle et n'ont pas un long passé littéraire qui les contraint. Lors de l'émission "La Revue des arts et des lettres", cinq écrivains (Yves Thériault, Claire France, Hervé Bazin, Roger Lemelin et Marcel Dubé) répondent à la question "Quels sont les principaux problèmes de l'écrivain canadien?" La question du petit lectorat ressort encore. Un débat sur le médium, livre, théâtre, radio ou télévision, apparaît. Le poète Jean-Guy Pilon définit l'écrivain canadien-français comme paresseux, sans courage et ne remplissant pas son rôle social d'écrivain. Il admet toutefois que l'écrivain n'étant pas reconnu socialement, on l'empêche de jouer son rôle dans la société. À l'émission "Tribune libre", Paul Lacoste pose la question "Comment doit-on concevoir l'engagement de l'écrivain dans la société canadienne-française?" Les écrivains Yves Thériault, Jacques Filiatrault, Claude Jasmin et les critiques littéraires Jean-Charles Falardeau et Gilles Marcotte répondent à la question. On peut affirmer que la littérature québécoise a fini par s'imposer et a contribué à la Révolution tranquille. Elle a renouvelé ses formes et son langage. |
Mots clés | Art engagé — Culture — Histoire — Littérature — Livre et édition — Médias — Société |
Identifiant | 1257439 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Du Refus global au village global (18 de 20) |
Date de création
| 1998-05-27 |
Durée du segment | 00:59:25 |
Invités | Arbour Madeleine, signataire du Refus global; Trépanier Esther, historienne de l'art |
Artisans | Denis Jean-Pierre, animateur, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Dix-huitième volet de la série: l'art au féminin (3 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. L'historienne de l'art, Esther Trépanier, évoque les années 1920 et 1930 afin de rappeler que la modernité, notamment celle des femmes, ne commence pas avec Paul-Émile Borduas et son groupe. Les femmes du Beaver Hall Club de Montréal. Les artistes féminines des années 1930: Marian Scott, Mary Cassat, etc. L'avènement de la crise en 1929 et sa représentativité en art. Esther Trépanier souligne la longue tradition de l'enseignement de l'art aux enfants, initiée en 1936 par le docteur Norman Bethune avec l'aide de Marian Scott, surtout du côté de la communauté anglophone de Montréal qui a été particulièrement sensible à la démocratisation de l'art auprès des moins nantis; l'art des enfants et celui des Amérindiens, justifications de la spontanéité. Entrevue avec Madeleine Arbour (signataire du Refus global), âgée de plus de soixante-dix ans et toujours active: son apprentissage autodidacte de l'art, sa première rencontre avec Borduas, la sensibilité qui émane d'une oeuvre d'art; son travail à la télévision dans le secteur des émissions jeunesse, puis aux émissions féminines à Radio-Canada; son souci de faire découvrir les belles choses au gens pour qu'ils puissent s'en inspirer; la réaction négative de sa mère face à son désir d'évoluer dans le milieu des arts; la dimension mystique de la vie. |
Mots clés | Anniversaires — Art — Automatisme — Culture — Femmes — Groupes et réseaux — Médias |
Identifiant | 1264705 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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